Ah, l’Organisation mondiale de la Santé… Rien que le nom, ça sent déjà le sérieux et les réunions interminables à Genève (oui, c’est bien là-bas, dans ce coin suisse où le chocolat coule à flots et où les horloges sont plus précises que mon réveil). Créée en 1948 – une époque où on croyait encore que fumer était bon pour la santé, imaginez ! – l’OMS, c’est un peu la grande tante bienveillante de la santé mondiale, toujours là pour rappeler à l’ordre les États membres, les partenaires, et même les voisins qui toussent un peu trop fort.
Son but ? Rien de moins que d’offrir à chaque humain sur cette planète un niveau de santé optimal. Oui, rien que ça. Mais attention, pas juste “pas malade”, non non : il s’agit d’un “état de complet bien-être physique, mental et social”. Autant dire que même mon chat n’y arrive pas tous les jours.
Mais comment font-ils, ces gens de l’OMS ?
1. La promotion de la santé : Bon, là, on parle de tout ce qui peut rendre la vie plus saine. Manger des légumes (même si les frites, c’est des patates, non ?), bouger un peu (ou beaucoup, selon la motivation), et éviter de fumer comme une cheminée. L’OMS, c’est aussi des campagnes pour l’eau potable, des conseils pour ne pas finir chez le médecin tous les quatre matins, et parfois, des slogans un peu ringards mais efficaces.
2. La prévention des maladies : Vous vous souvenez de la dernière fois qu’on vous a piqué le bras pour un vaccin ? Eh bien, c’est eux, en coulisses. Ils organisent des campagnes, surveillent les épidémies (bonjour, Covid !), et essaient de faire comprendre à tout le monde que “prévenir, c’est guérir” (même si, soyons honnêtes, on oublie souvent).
3. La prise en charge des maladies : Là, on entre dans le dur. L’OMS aide les pays à former des médecins, à construire des hôpitaux, à rendre les soins accessibles (enfin, ils essaient, parce que ce n’est pas gagné partout). Leur rêve ? Que personne ne doive choisir entre se soigner et manger. Utopique ? Peut-être. Mais il faut bien rêver un peu.
4. La recherche en santé : Les blouses blanches, les microscopes, les essais cliniques… L’OMS soutient tout ce petit monde pour qu’on trouve de nouveaux traitements, des vaccins, ou même des idées pour mieux vivre ensemble. Parfois, ça donne des résultats incroyables (bye bye la variole), parfois… on attend encore.
Et tout ça, ils ne le font pas seuls, hein. Ils bossent main dans la main avec les gouvernements, les ONG, les entreprises, et même les communautés locales (oui, même la petite asso du coin). Ils filent des conseils, de l’argent, des ressources, et parfois, ils tapent du poing sur la table pour que ça avance.
Un exemple ? L’OMS a aidé à éradiquer la variole. Oui, éradiquer, comme dans “plus jamais”. Et la polio ? Presque disparue. Ils ont aussi mis la main à la pâte contre le VIH, la tuberculose, le paludisme… Bref, ils ne chôment pas.
Des exemples concrets, ça vous parle ?
1. La lutte contre les maladies infectieuses : Polio, rougeole, tuberculose, VIH… L’OMS, c’est un peu le chef d’orchestre des grandes campagnes de vaccination. Ils surveillent les nouveaux virus (coucou, Ebola), et aident les pays à ne pas se retrouver débordés.
2. La promotion de la vaccination : Parce que franchement, qui a envie de revoir la rougeole ou la diphtérie ? L’OMS pousse pour que tout le monde ait accès aux vaccins, même dans les coins les plus paumés. Et ils bossent sur de nouveaux vaccins, histoire de ne pas se reposer sur leurs lauriers.
3. Le développement de nouveaux médicaments et vaccins : Là, c’est la partie “chercheurs fous” (mais dans le bon sens). Ils soutiennent la recherche, vérifient que les nouveaux traitements ne transforment pas les gens en zombies, et s’assurent que tout est bien testé avant d’être vendu.
4. La lutte contre les maladies non transmissibles : Cancer, diabète, maladies cardiaques… L’OMS essaie de faire comprendre que fumer, boire, manger gras et ne jamais bouger, ce n’est pas la meilleure idée. Ils proposent des taxes, des campagnes, des programmes pour aider à changer les habitudes (même si, entre nous, le Nutella, c’est dur à lâcher).
5. La promotion de la santé mentale : Sujet longtemps tabou, la santé mentale est enfin sur le devant de la scène. L’OMS pousse pour qu’on arrête de stigmatiser ceux qui vont mal, et pour que les soins soient accessibles. Parce que, franchement, qui n’a jamais eu un coup de mou ?
6. La préparation aux urgences sanitaires : Pandémies, catastrophes naturelles… L’OMS aide les pays à se préparer, à réagir vite, et à ne pas paniquer (enfin, pas trop). Ils coordonnent, ils conseillent, ils rassurent… ou essaient, du moins.
Bref, sans l’OMS, le monde serait probablement un peu plus chaotique (et beaucoup plus malade). Grâce à eux, des millions de vies ont été sauvées, et on a tous un peu plus de chances de vivre vieux et en forme (enfin, sauf si on abuse des chips).
L’OMS et le Cannabidiol : une histoire d’amour… ou presque
Alors, le CBD, vous en avez entendu parler ? Ce petit composé du cannabis qui fait tant parler de lui, entre les huiles miracles et les débats sans fin. Eh bien, l’OMS s’est penchée sur la question, et pas qu’un peu.
En 2017, leur comité d’experts (oui, ils en ont un pour tout) a dit, en gros : “Le CBD pur, ça n’a pas l’air dangereux, ni addictif.” Pas mal, non ? Ils ont même suggéré de le retirer de la liste des produits dopants. Et en 2020, rebelote : un rapport sur le cannabis non médical, et toujours la même conclusion : le CBD, c’est plutôt tranquille, mais on manque encore de recul sur le long terme.
L’OMS voit du potentiel thérapeutique dans le CBD. Elle encourage la recherche (parce que bon, on n’est jamais trop prudents), et certains pays ont déjà sauté le pas : le CBD est utilisé pour traiter l’épilepsie, l’anxiété, les douleurs chroniques… et qui sait, peut-être bientôt pour les lendemains de fête difficiles ? (Bon, là, j’exagère un peu.)
En résumé, l’OMS sur le CBD, ça donne quoi ?
1. Pas d’abus, pas de danger : Le CBD ne rend pas accro, ne fait pas planer, et globalement, il est bien toléré. Contrairement à son cousin le THC, qui lui, a un côté plus… festif, disons.
2. Un potentiel thérapeutique à explorer : Les études sont prometteuses, mais il en faut encore (et encore). Pour l’instant, on sait qu’il peut aider pour l’épilepsie, l’anxiété, les douleurs, et même l’inflammation. Mais attention, pas de miracle sans preuves !
Et alors, qu’est-ce que ça change ?
1. La législation pourrait évoluer : Certains pays sont déjà passés à l’action, d’autres traînent des pieds. Mais avec l’OMS qui donne son feu vert, on peut espérer que les lois s’assouplissent un peu partout (enfin, sauf peut-être chez les plus frileux).
2. La recherche continue : Il reste encore beaucoup à découvrir. L’OMS encourage les chercheurs à creuser, à tester, à vérifier. Parce que, soyons honnêtes, on n’a pas envie de se retrouver avec un nouveau scandale sanitaire sur les bras.
En bref, l’OMS, c’est un peu le chef d’orchestre de la santé mondiale. Parfois critiquée, souvent indispensable, elle avance, parfois à petits pas, parfois à grandes enjambées. Et grâce à elle, le CBD a gagné ses lettres de noblesse (ou presque). Mais, comme toujours, prudence et patience restent de mise.
Voilà, c’était mon petit tour d’horizon – imparfait, un brin subjectif, mais sincère – sur l’OMS et ses combats, du vaccin à la molécule de cannabis. Allez, santé ! (Avec modération, évidemment.)