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Le pouvoir du chanvre pour la repousse des cheveux

Le chanvre et ses bienfaits pour la repousse des cheveux

Une nouvelle approche pour lutter contre l’alopécie androgénétique

Oubliez tout ce que vous pensiez savoir sur le chanvre – non, ce n’est pas juste pour les cordes ou les tisanes relaxantes de mamie ! Depuis peu, il s’invite là où on ne l’attendait pas : sur nos têtes clairsemées. Oui, vous avez bien lu. Une étude signée Gregory Luke Smith (un nom qui claque, non ?) a mis le doigt sur un truc assez dingue : l’extrait de chanvre bourré de cannabinoïdes pourrait bien réveiller vos follicules endormis, surtout si vous faites partie du club – pas si fermé – des gens qui perdent leurs cheveux à cause de l’alopécie androgénétique. On va plonger là-dedans, décortiquer les mécanismes, zieuter les résultats (spoiler : y’a de l’espoir) et rêver un peu à ce que l’avenir nous réserve côté crinière.


Introduction

Le chanvre, c’est un peu le couteau suisse des plantes. On l’a vu partout : dans les vêtements, les cosmétiques, les huiles pour les bobos… Mais alors, pour les cheveux ?! Eh bien, figurez-vous que la science s’en mêle et que, face à la galère de l’alopécie androgénétique (vous savez, cette calvitie qui fait râler autant les hommes que les femmes), le chanvre sort de sa boîte à malices. Les traitements classiques ? Pas toujours la panacée, entre effets secondaires et résultats bof-bof. C’est là que débarque le trio magique : CBD, THCV, CBDV – non, ce ne sont pas des codes secrets, mais des cannabinoïdes qui pourraient bien changer la donne.

Tout ça, c’est une histoire de système endocannabinoïde (essayez de le dire trois fois de suite, pour voir). Ce réseau, découvert dans les années 90, gère plein de trucs dans notre corps, genre l’inflammation, la régénération cellulaire, et – surprise – la santé de nos cheveux. L’étude de Smith s’est penchée sur l’application directe de l’extrait de chanvre sur le cuir chevelu. On va donc parler de :

  • Ce fameux système endocannabinoïde et pourquoi il s’invite dans nos cheveux
  • Comment les cannabinoïdes titillent nos follicules pileux
  • Ce que l’étude a vraiment montré (avec des vrais gens, pas des souris !)
  • Ce qu’on peut espérer pour la suite (et ce qu’on ne sait pas encore…)

1. Le système endocannabinoïde et la santé des follicules pileux

1.1 Comprendre le système endocannabinoïde

Alors, le système endocannabinoïde, c’est un peu comme le chef d’orchestre discret de notre organisme. Il y a des récepteurs (CB1, CB2 – non, ce n’est pas le nom de robots Star Wars), des molécules qui s’y accrochent (genre l’anandamide, qui sonne comme un prénom de licorne) et des enzymes qui font le ménage derrière. Ce système, il gère la douleur, l’inflammation, la régénération… et, apparemment, la pousse des cheveux. Qui l’eût cru ?

Petit résumé pour les têtes en l’air :

  • Récepteurs cannabinoïdes (CB1 et CB2)
    Ils reçoivent les signaux et font la pluie et le beau temps dans nos cellules.
  • Endocannabinoïdes
    Des molécules maison, fabriquées par notre corps, qui viennent se coller aux récepteurs.
  • Enzymes
    Les petites mains qui fabriquent et détruisent ces molécules, histoire que tout roule.

1.2 Rôle du système endocannabinoïde dans la santé des cheveux

Nos follicules pileux, ces mini-usines à cheveux, sont super sensibles à ce que raconte le système endocannabinoïde. Le cycle du cheveu, c’est un peu comme une série Netflix en trois saisons :

  • Phase anagène (croissance)
  • Phase catagène (pause-café)
  • Phase télogène (repos, puis chute – snif)

Si tout va bien, ça tourne. Mais si ça déraille (merci les gènes, les hormones, la vie quoi), bonjour l’alopécie androgénétique.


2. Mécanismes d’action uniques des cannabinoïdes dans la repousse des cheveux

2.1 Les cannabinoïdes ciblés : CBD, THCV et CBDV

Dans le labo de Smith, on ne s’est pas contenté de saupoudrer du chanvre au hasard. Non, on a isolé trois stars :

  • Cannabidiol (CBD)
    Il joue les trouble-fête sur le récepteur CB1, et active la voie Wnt (non, ce n’est pas un jeu vidéo), qui aide à régénérer les cellules.
  • Tétrahydrocannabivarine (THCV)
    Celui-là, il régule la pousse des cheveux, ni trop ni trop peu, en gardant un œil sur CB1.
  • Cannabidivarine (CBDV)
    Il complète la bande, calme l’inflammation et bichonne les follicules.

Ensemble, ils font équipe pour réveiller les bulbes fatigués.

2.2 Interactions avec les récepteurs TRPV

Mais attendez, ce n’est pas fini ! Les cannabinoïdes aiment aussi papoter avec les récepteurs TRPV (TRPV1, TRPV4 – encore des noms de robots, décidément) :

  • TRPV1
    Quand il s’active, hop, la phase de croissance du cheveu démarre en trombe.
  • TRPV4
    Il gère la signalisation cellulaire et, apparemment, donne un petit coup de pouce à la repousse.

Le menthol, souvent ajouté à la formule (pour le côté frais, mais pas que), aide à activer tout ce petit monde.

2.3 Tableau récapitulatif des mécanismes d’action

Cannabinoïde / ComposantAction sur les récepteursImpact sur la repousse des cheveux
CBDAntagoniste partiel du récepteur CB1Active la voie Wnt, donc régénération à la clé
THCVAntagoniste neutre du récepteur CB1Régule la pousse, façon chef d’orchestre
CBDVModulation du récepteur CB1Calme l’inflammation, bichonne les bulbes
Menthol (extrait ajouté)Agoniste du TRPV1Déclenche la phase de croissance, effet coup de fouet

3. Étude de cas : L’impact du chanvre sur l’alopécie androgénétique

3.1 Présentation de l’étude de Gregory Luke Smith

Alors, cette fameuse étude, elle a réuni 31 volontaires (oui, ce n’est pas la foule du Stade de France, mais c’est déjà ça) :

  • Population étudiée : 31 personnes, hommes et femmes, tous dans le même bateau de l’alopécie.
  • Durée du traitement : Application quotidienne d’un extrait de chanvre sur le crâne, pendant six mois (faut être patient, hein).
  • Objectifs : Voir si ça repousse, si ça gratte, et si les gens sont contents.

3.2 Résultats obtenus et témoignages

Et là, accrochez-vous :

  • Plus de cheveux, beaucoup plus !
    • Chez les hommes : +246% de cheveux (oui, vous avez bien lu, ce n’est pas une faute de frappe).
    • Chez les femmes : +127% (pas mal non plus, non ?).
  • Pas d’effets indésirables : Personne n’a fini avec des oreilles vertes ou des démangeaisons bizarres.
  • Bien-être retrouvé : Les participants se sont sentis mieux dans leur peau, et ça, ça ne se mesure pas en pourcentage.

3.3 Exemples concrets et retours d’expérience

Des chiffres, c’est bien, mais des histoires, c’est mieux :

  • Jean, 38 ans :
    Après six mois, Jean a rangé ses sprays camouflage au placard. Il dit :

    « Franchement, je n’y croyais pas trop au début. Mais là, je me regarde dans la glace, et je me dis : c’est qui ce mec avec des cheveux ? »

  • Claire, 45 ans :
    Elle, elle a retrouvé du volume et le sourire. Plus besoin de ruser avec des coiffures tarabiscotées pour cacher les trous.

Bref, des vrais gens, des vrais résultats. On aime.


4. Mécanismes thérapeutiques et synergie avec les traitements conventionnels

4.1 La voie de signalisation Wnt et la régénération cellulaire

Le CBD, en bossant sur la voie Wnt (toujours pas un jeu vidéo), aide les cellules souches à se réveiller. Résultat :

  • Les follicules se remettent au boulot.
  • Les cheveux passent du mode « pause » au mode « pousse ».

4.2 Synergie entre l’extrait de chanvre et les traitements conventionnels

On ne jette pas tout à la poubelle ! Le chanvre, il peut bosser main dans la main avec le minoxidil ou le finastéride :

  • Effets complémentaires :
    Chacun agit à sa façon, et ensemble, c’est encore mieux.
  • Moins d’effets secondaires :
    Le chanvre en local, c’est doux, pas d’effets bizarres sur le reste du corps.

4.3 Avantages de l’approche topique

Pourquoi s’embêter avec des pilules quand on peut cibler direct le cuir chevelu ?

  • Action locale
    On vise là où ça fait mal (ou plutôt là où ça ne pousse plus).
  • Sécurité
    Pas de panique, pas d’effets secondaires majeurs.
  • Facile à intégrer
    Un petit massage, et hop, c’est parti pour la journée.

5. Perspectives futures et implications pour la repousse des cheveux

5.1 Vers de nouvelles recherches

Bon, 31 personnes, c’est un début, mais il va falloir voir plus grand :

  • Des études XXL
    Pour être sûrs que ce n’est pas juste un coup de bol.
  • Comprendre les détails
    Les interactions entre tous ces récepteurs, c’est encore un peu flou.
  • Tester les combos
    Chanvre + traitements classiques = la dream team ?

5.2 Les implications pour les traitements de l’alopécie androgénétique

Le chanvre, ce n’est pas la baguette magique, mais :

  • Une option en plus
    On ne remplace pas tout, on complète.
  • Du sur-mesure
    Chaque crâne est unique, alors pourquoi pas des traitements personnalisés ?
  • Accessible et safe
    Pas besoin d’ordonnance, pas de panique à l’idée d’effets secondaires.

5.3 Intégration dans une stratégie globale de bien-être capillaire

Et si on voyait plus large que la simple repousse ?

  • Soins naturels
    Le chanvre, c’est aussi plein de bons nutriments pour le cuir chevelu.
  • Prévention
    Pourquoi attendre de perdre ses cheveux pour agir ?
  • Approche globale
    Cheveux, alimentation, hygiène de vie… tout est lié, non ?

6. Conseils pratiques et recommandations pour l’utilisation de l’extrait de chanvre

6.1 Mode d’application et protocoles recommandés

Pour ceux qui veulent tenter l’aventure, voilà comment s’y prendre :

  1. Une fois par jour
    Le matin ou le soir, selon votre humeur (et votre emploi du temps).
  2. Massage obligatoire
    Deux minutes, pas plus, mais avec amour !
  3. Patience, patience
    Six mois minimum, Rome ne s’est pas faite en un jour (ni votre tignasse).
  4. Hygiène
    On évite les shampoings chimiques, on chouchoute son cuir chevelu.

6.2 Précautions et contre-indications

On n’est jamais trop prudent :

  • Testez avant
    Un peu de produit sur la peau, histoire de vérifier que tout va bien.
  • Demandez à votre doc
    Surtout si vous avez déjà des soucis de santé ou d’autres traitements en cours.
  • Notez vos progrès
    Un petit carnet, des photos avant/après… ça motive !

6.3 Tableau des recommandations pratiques

ÉtapeRecommandationObjectif
Application quotidienneUne fois par jour sur le cuir cheveluPour que ça marche, tout simplement
Massage capillaire2 à 3 minutes, sans s’endormirBooster la circulation
Durée du traitementAu moins 6 moisVoir la différence (et ne pas abandonner trop vite)
Test cutanéSur une petite zone, avant de se lancerÉviter les mauvaises surprises
Consultation médicaleEn cas de doute, on demandePour dormir tranquille

7. Analyse critique et défis à relever

7.1 Les limites actuelles de l’étude

On ne va pas se mentir, tout n’est pas parfait :

  • Petit échantillon
    31 personnes, c’est peu. On veut plus !
  • Durée courte
    Six mois, c’est bien, mais quid sur deux ans ?
  • Mystères moléculaires
    On ne sait pas encore tout sur le « comment » ça marche.

7.2 Les défis techniques et réglementaires

Le chanvre, ce n’est pas encore le Far West, mais presque :

  • Formules à standardiser
    Chaque produit est différent, il faut harmoniser tout ça.
  • Réglementation mouvante
    Un jour c’est oui, un jour c’est non… patience !
  • Informer sans survendre
    Le miracle n’existe pas, mais l’espoir, oui.

8. FAQ : Questions fréquentes sur l’utilisation du chanvre pour la repousse des cheveux

1. Comment le chanvre enrichi en cannabinoïdes agit-il sur la repousse des cheveux ?
En gros, il secoue le système endocannabinoïde et réveille les follicules, surtout pendant la phase de croissance. C’est un peu comme un coach sportif pour vos cheveux.

2. Quels cannabinoïdes sont utilisés dans l’étude de Gregory Luke Smith ?
CBD, THCV, CBDV – chacun son rôle, mais tous dans la même équipe.

3. Quels résultats ont été observés dans l’étude sur l’alopécie androgénétique ?
Des cheveux en pagaille : +246% chez les hommes, +127% chez les femmes. Pas mal, non ?

4. Existe-t-il des effets secondaires connus liés à l’application topique de l’extrait de chanvre ?
Rien à signaler dans l’étude, mais on conseille toujours de tester sur une petite zone, au cas où.

5. Peut-on combiner l’extrait de chanvre avec d’autres traitements contre l’alopécie ?
Oui, et c’est même recommandé pour booster les résultats (et limiter les effets secondaires des autres traitements).

6. Combien de temps faut-il appliquer le traitement pour observer des résultats significatifs ?
Six mois, minimum. Patience, on a dit !

7. Où peut-on se procurer des produits à base d’extrait de chanvre pour la repousse des cheveux ?
Dans des boutiques spécialisées, ou en ligne (La Verte Feuille, par exemple, pour ne pas les citer).


Conclusion

Le chanvre, ce vieux briscard des plantes, se réinvente et s’invite sur nos têtes. L’étude de Gregory Luke Smith, même si elle n’a pas encore tout prouvé, donne franchement envie d’y croire : plus de cheveux, moins de complexes, et tout ça sans effets secondaires bizarres. Le système endocannabinoïde, les récepteurs TRPV, les cannabinoïdes… tout ce petit monde bosse ensemble pour relancer la machine capillaire.

En résumé, à retenir :

  • Le système endocannabinoïde : pas juste un mot compliqué, mais un vrai chef d’orchestre pour nos cheveux.
  • Les cannabinoïdes (CBD, THCV, CBDV) : chacun son job, mais tous pour la repousse.
  • Des résultats concrets : plus de densité, sans effets indésirables.
  • L’approche topique : facile, sûre, et compatible avec d’autres traitements.
  • L’avenir : encore des études à venir, mais déjà de belles promesses pour nos crânes fatigués.

Chez La Verte Feuille, on y croit dur comme fer : le chanvre, c’est l’avenir du soin capillaire naturel. Reste à continuer la recherche, à personnaliser les traitements, et à garder la tête haute (et bientôt, bien garnie).


Voilà, si vous aviez encore des doutes sur le potentiel du chanvre pour vos cheveux, il est peut-être temps de tenter l’aventure. Entre science, anecdotes et conseils pratiques, chacun peut désormais envisager une solution naturelle, innovante et – qui sait – retrouver le plaisir de passer la main dans une chevelure plus dense. Allez, à vos pipettes !


En bref, le chanvre enrichi en cannabinoïdes, c’est peut-être LA surprise capillaire de la décennie. Les premiers résultats sont là, les mécanismes commencent à se dévoiler, et l’application topique s’impose comme une alternative sérieuse. Restez curieux, testez, et surtout, gardez espoir : la science avance, et vos cheveux aussi (enfin, on l’espère !).

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