Eh bien, eh bien, eh bien, semble-t-il que nos amis canadiens aient accumulé un peu trop de cannabis, et ils ne savent pas trop quoi en faire. Les chiffres révèlent que les stocks invendus ont atteint un chiffre impressionnant de 1,5 milliard de grammes en décembre dernier. On peut dire, sérieusement, que ca fait beaucoup d’herbe. Je me demande combien de fumeurs il faudrait pour écouler tout ça.
Maintenant, on peut se demander comment ils en sont arrivés là. Eh bien, la légalisation du cannabis au Canada en 2018 a ouvert les portes à un grand nombre de producteurs qui ont tous voulu leur part du gâteau. Le résultat ? Une compétition féroce et une surproduction d’herbe qui a entraîné une baisse des prix. En fait, le prix de détail a chuté d’environ 30 % depuis 2018. C’est une bonne nouvelle pour les consommateurs, mais pas tellement pour les entreprises qui ont du mal à écouler leurs stocks.
Certains producteurs ont même dû mettre la clé sous la porte, ce qui signifie que l’herbe qu’ils ont cultivée ne disparaît pas pour autant. Non, non, elle reste là, à prendre la poussière dans les entrepôts. C’est triste, vraiment. On imagine les plantes de cannabis, abandonnées et délaissées, attendant désespérément d’être fumées. On pourrait presque en entendre certaines pleurer : « Allume-moi, je t’en prie ! »
Mais bon, ne vous inquiétez pas trop pour nos amis canadiens. Ils ont déjà quelques idées pour écouler leurs stocks. Certains ont ouvert des magasins éphémères, où ils vendent leur herbe à des prix réduits. C’est comme un feu de joie, mais avec de l’herbe à la place des bûches. Je suppose que ça peut être amusant, tant que personne ne se brûle les doigts.
En tout cas, une chose est sûre : les Canadiens ne manqueront pas de choix lorsqu’il s’agira de choisir leur herbe. Avec près de 1 000 producteurs autorisés dans le pays, c’est un véritable paradis pour les amateurs de cannabis. On peut imaginer des rayons et des rayons remplis de différentes variétés, comme dans une épicerie. « Hmm, aujourd’hui je vais prendre un peu de Northern Lights et peut-être un soupçon de Blue Dream pour pimenter ma soirée. »
Mais bon, tout cela n’est pas sans conséquence. La surproduction d’herbe a également eu un impact sur les cultivateurs. La superficie de culture autorisée a diminué, et beaucoup d’entre eux ont dû fermer leurs portes. C’est triste de voir ces champs autrefois verdoyants transformés en friches abandonnées. C’est un peu comme une scène de film post-apocalyptique, mais au lieu de zombies, on a des mauvaises herbes qui poussent partout.
Alors voilà où nous en sommes : les Canadiens ont accumulé tellement de cannabis qu’ils ne savent plus quoi en faire. Peut-être qu’ils pourraient organiser une énorme fête géante et inviter tous les amateurs de cannabis du pays. Ça serait une sacrée soirée, je vous le dis. Mais en attendant, je suppose qu’ils devront trouver d’autres moyens de s’en débarrasser. Peut-être qu’ils pourraient le transformer en papier toilette ? Après tout, c’est une denrée précieuse de nos jours.